En fait il s'agit d'un trottoir banal, peut-être celui qui borde son hôtel et derrière le muret passent des soldats pas plus pressés que cela ...
lundi 7 mars 2011
Gestiion de crise II
Allez! juste pour le plaisir, rappelons les hauts faits d'armes de notre déjà philosophator à Sarajevo où l'on voit l'inénarrable new philosophe, le Malreaux des années 90, accorder une interview à un journaliste (rigolard), sous le feu des impitoyables snippers œuvrant juste derrière le mince muret... Admirez la pose dramatique, les yeux figés sur les horreurs qui viennent de lui être infligées. Ah ! maudite persistance rétinienne ! Cet homme rassemble ce qui lui restent de forces pour sauver le monde...
En fait il s'agit d'un trottoir banal, peut-être celui qui borde son hôtel et derrière le muret passent des soldats pas plus pressés que cela ...
En fait il s'agit d'un trottoir banal, peut-être celui qui borde son hôtel et derrière le muret passent des soldats pas plus pressés que cela ...
5 commentaires:
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N'oublions pas non plus de réfléchir à la position du photographe. C'est bien la preuve qu'il n'y avait aucun danger !
RépondreSupprimerLe plus rigolo, c'est le bidonnage de l'inénarrable "Le Post", qui bien qu'il soit au courant du trucage de BHL, n'a pas voulu se donner le mal de retrouver la photo originale ou bien ne l'a pas trouvée assez parlante et donc l'a recréée à sa sauce en faisant un faux : derrière le mur ce ne sont plus des soldats mais une jeune femme tzigane qui déambule.
RépondreSupprimerhttp://www.lepost.fr/article/2010/12/11/2336443_policiers-menteurs-et-mitterand-et-son-faux-attentat-et-bhl-a-sarajevo-spectacle-mise-en-scene-ou-commence-le-delit.html
Le ridicule ne tue plus... Et c'est bien dommage !
RépondreSupprimer"Connaissez-vous la satisfaction que l'on peut éprouver à voir un premier de la classe, accessoirement tête à claques et insupportable, ou bien un séducteur arrogant et couvert de femmes, se ramasser une déconvenue aussi humiliante que publique ? C'est à peu près ce qui arriva à Bernard-Henri Lévy le jour où cet écrivain-philosophe se prit soudain pour un cinéaste épique."
RépondreSupprimerhttp://www.nanarland.com/Chroniques/Main.php?id_film=jouretlanuit
ah oui excellente critique qui donnerait presque l'envie d'aller voir le film pour se faire ch... deux heures ou alors bien rire
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