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jeudi 16 octobre 2014

Une impression fugace.

Ça y est, la chute est visible.

Ces dernières années nous étions comme la navette Challenger, déjà morts, mais nous ne le savions pas ou ne voulions pas le savoir. Les moteurs vibraient, mais n'avaient pas encore explosé. Tout allait bien la fusée continuait de progresser vers le firmament.
Il y a un moment où ça a explosé, mais les optimistes nous disaient "Arrêtez ! vous voyez bien que l'on monte toujours ! C'est vrai, la fusée montait toujours mais sur son erre.

Aujourd'hui que le vaisseau a perdu  son élan, tout se casse la gueule.

La menace du virus Ebola, n'est qu'une sorte de symbole qui révèle nos faiblesses idéologiques et structurelles, l’État socialiste qui pique aux libéraux les plus radicaux leurs recettes éculées pour remplir les caisses, c'est une tragique pantalonnade. Le président interventionniste qui sabote l'armée, c'est une trahison d’État.
Voila comme va le monde à l'aube de ce siècle qui nous promet au moins autant de joie et de bonheur que le précédent.


2 commentaires:

  1. La fin des haricots t'inspire de bien bon billet (sans flatterie) alors qu'elle me laisse muet ces temps-ci.

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  2. Merci Pharamond.
    J'ai eu aussi un grand blanc ces derniers mois tellement l'apathie du monde politique est contagieuse.

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