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mardi 15 octobre 2013

La marche des rebeux

Aujourd'hui, difficile d'ouvrir une radio sans tomber sur la commémoration de la "marche des beurs". Manifestation  menée par les trotskistes de service, Désir, Dray et d'autres , aujourd'hui "connus des services de police" pour diverses affaires pas très claires ayant trait au porte-monnaie, marche qui se voulait une réédition de la marche des droits civiques survenue une vingtaine d'années plus tôt aux USA.

Il s'agissait de lutter (déjà) contre le prétendu  rejet des immigrés par la société, le racisme , la xénophobie et toute la litanie pro-immigrationniste que je ne vais pas vous faire l'affront de vous infliger.

Trente ans après que constate-t-on, objectivement ?

La démarche d'assimilation qui était en route s'est quasiment arrêtée. Il n'y a pratiquement plus de mariages mixtes. Les soi-disant mariages mixtes sont des mariages entre un immigré de seconde ou troisième génération  et un (ou une) blédarde ou entre un (ou une) converti et une (ou un) musulmane.
Les "petits Français", qui étaient et sont toujours au contact, ont échoué dans le travail d'assimilation qui leur avait été dévolu par le Château. Ils opèrent un repli stratégique lorsqu'il le peuvent ou s'assimilent au colon. Un comble !

L'obtention systématique de la nationalité française n'a en rien œuvré pour l'assimilation, puisque le service militaire, grand creuset  de brassage des populations masculines françaises, a été supprimé par ce pitre de Chirac, quand il s'est aperçu que l'immigration allait être trop criarde et révélée aux veaux par cet intermédiaire. Elle n'a servi qu'a créer une population qui n'est de nulle part. Au bled, en vacances ils sont "les Français" et ici ils sont "les immigrés". C'est une source potentielle de violence dont tout le monde peut ressentir le bourdonnement dans certaines situations.

Les populations immigrées, confortées par le pouvoir dans l'idée qu'elles étaient des victimes et redevables en rien au pays et à la  population qui les accueillait, se sont mises à faire valoir des pseudo-droits. Des "droits-à" sans fin et sans justification dont l'épisode italien de Lampédusa ou le cycle infernal des Roms ne sont que des soubresauts (plus qu'hier et bien moins que  demain).
Ces mêmes populations se sont repliées dans des ghettos, par elles seules créés, qui accentuent encore l'impossibilité constatée d'assimilation de masse qui avait fonctionné jusqu'à présent mais sur des population européennes et bien moins nombreuses.
Cerise sur le gâteau, l'immigration à vannes ouvertes depuis trente ans empêche toute assimilation  et même toute intégration (un degré moindre du bien-vivre-ensemble cher à nos zélites), les nouveaux arrivants jouant le rôle de piqûre de rappel de la blédardisation : un retour aux fondamentaux en quelque sorte.
En trente ans on a vu l'islamisation de la société progresser de manière fulgurante. Comme dans le monde musulman extérieur, me direz-vous. Certes, mais sauf qu'ici nous ne sommes pas à l'extérieur et que la République avait toujours mis un point d'honneur à transformer en vrais Français les derniers arrivés.
Alors, il se trouvera toujours des Oncle-Tom de l'immigration pour se féliciter de l'apport de diversité culturelle, ethnique et autres fadaises, diversité que par ailleurs ils combattent quand elle est revendiquée par les populations autochtones, mais il faut bien constater que cette marche des beurs a été l'acte initial de l'atomisation de la France donnant ainsi son vrai rôle à l'immigration, la destruction des nations européennes pour y opérer par voie de substitution de la population la mise en place du monde marchand qui sera le monde de demain, la guilde mafieuse des marchands, l'Empire.

La France murmure, la France bourdonne. Il n'y a, à mon avis, que deux obstacles au déclenchement d'une guerre civile, la peur, le complexe de culpabilité, qui ont été greffés dans l'esprit des Français depuis trente ans par les pouvoirs successifs à coups de lois indignes, de lois perverses , de lois d'inversions et le manque d'armes également voulu et organisé  par ces mêmes pouvoirs successifs  qui ne sont que les deux faces d'une même pièce.


5 commentaires:

  1. Je suis malheureusement en tout point d'accord avec toi.

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  2. oui, malheureusement comme tu dis.

    ps : j'ai corrigé quelques fautes et la ponctuation qui était un peu erratique

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  3. dray, désir...les Bergé d'alors...tous juifs !

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  4. désir, oh que oui ! de père antillais, mère alsacienne juive!!!

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