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samedi 5 mai 2018

Premier Mai, les bourges et les bobos jouent à la guéguerre

Les premières comparutions immédiates après les violences du 1er-Mai à Paris ont eu lieu le jeudi 3 mai. Devant le tribunal, le profil de certains prévenus est étonnant : parmi eux, un centralien payé 4 200 euros par mois. Des prévenus avec des profils très variés : cinq hommes et une femme. Tous étaient poursuivis pour participation à un groupement formé en vue de commettre des violences ou dégradations. Ils ont été arrêtés avec le visage souvent dissimulé. Certains avaient dans leurs sacs des pierres, des ciseaux, masses, masques de piscines entre autres. Dans le box, un jeune homme de 29 ans, t-shirt blanc, diplômé de l’École centrale, consultant. Son salaire mensuel s’élève à 4 200 euros. Son voisin explique aussi avoir donné une fausse identité « dans la panique de la garde à vue ». Une garde à vue qui a duré 48 heures pour ce fils de chercheur au CNRS et cette fille de directeur financier.
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Ainsi il apparait de plus en plus que les fameux black blocks et antifas de la même eau sont constitués pour une partie non négligeable de Bobos en mal d'action et de provocateurs privés ou policiers.
En l'occurrence le premier  mai il s'agissait de discréditer l'opposition ouvrière aux projets macroniens visant à brader l'outil économique par la petite porte  pour faire des grosses fouilles à ses petits amis. Quoi de mieux que des bavures montrant combien les ouvriers et les petits salariés sont bêtes et primaires face à Jupiter ?
Un intervenant sur RC parlait de milices privées selon une source policière, pas moins .

Quant aux jeunes Bobos ils s'achètent une conduite. En des temps plus reculés voire obscurantistes, avant que les Droits de l'Homme ne soient révélés au monde, les dames de la noblesse ou de la bourgeoisie avaient leurs pauvres et s'investissaient dans les œuvres de charité. Leurs descendants s'habillent en voyous et vont casser du mobilier urbain et à l'occasion des ouvriers ou petits salariés pour lutter contre la bête immonde.
Nous saurons nous en souvenir.

Ce cas n'est pas une exception, souvenons-nous que lors de l'épisode de la voiture de police incendiée dans le quartier de la République, deux des interpellés "antifas" agresseurs de deux policiers ultramarins, étaient les petits-enfants de Georges Bernanos écrivain célèbre, catholique, monarchiste et anti-modernisme. Le meurtre du grand-père en quelque sorte, le père ressemblant plus à un ectoplasme qu'à un homme véritable on ne peut le tuer même symboliquement .

On comprend un peu mieux que  les ministres de l’intérieur, qui n'ont aucune retenue lorsqu'il s'agit de gens ordinaires venant protester contre le sort qui leur est fait ou que l'on fait à leur pays se retiennent beaucoup lorsqu'il s'agit de leurs enfants ou de ceux de leurs amis.

Il s'agit d'une vaste représentation théâtrale à plusieurs acteurs, faisant semblant de s'opposer, tous concourant à œuvrer contre le peuple français, qui travaille, qui produit, qui constitue le cœur  de cette nation en train de sombrer sous nos yeux.

Addendum 07 mai
Polemia Black Blocs, Antifas No Borders , l'extrême gauche au service du système

 

1 commentaire:

  1. Excuses mais là, je suis infichu de commenter - ça dépasse mon QI de 35/110 :(

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