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mardi 21 avril 2015

Coke en stock

Il y a un sujet récurrent qui m'énerve passablement en ce moment, c'est celui qui porte sur le drame de l'immigration clandestine avec ses morts, ses Chrétiens tabassés et jetés par dessus bord , ses passeurs criminels qui surchargent leurs bateaux de coke et vont jusqu'à les couler à la première occasion .
Mais le pire c'est la litanie des pleureuses médiatiques qui veulent à tout prix que nous soyons responsables et coupables de cette situation.

L'Afrique compte 1,2 milliards d'habitants. On nous promet 2 milliards d'habitants d'ici 2050.
Chacun des ces milliards d'habitants n'a qu'une idée en tête, se tirer de son continent pour vivre d'un salaire de misère et des prestations sociales dans une banlieue europérennne où il pourra engrosser chacune de ses femmes une bonne dizaine de fois et se ballader en boubou pour aller à la mosquée que lui aura construite ce connard d'Européen qu'il méprise  et qu'il hait tout en souhaitant devenir son égal et baiser ses femmes blondes et blanches .

Il n'y a naturellement aucune solution "humaniste" à ce rêve qui demeurera inassouvi . Une Europe entièrement africanisée sera une seconde Afrique qui n'aura plus rien à offrir à ses nouveaux habitants, la force du sous continent venant du génie créatif de ses populations autochtones et non pas de ses ressources naturelles.
C'est donc un gâchis en deux étapes.
Le déracinement et la désillusion de ces immigrants qui le plus souvent déçus et frustrés ne contribuent pas vraiment à l'enrichissement de leurs pays d'accueil et le désespoir pour ne pas dire la désespérance de ces populations autochtones, nous, qui voient leurs pays se transformer sous leurs yeux en annexes du tiers monde sans aucune alternative heureuse.

Un beau gâchis duquel tout politique ayant été en place depuis 1962 devra répondre un jour et peut-être devant des cours de justice.


3 commentaires:

  1. Il me semble qu'elle met le doigt où ça fait mal.


    "Esprit de sacrifice et appétence doloriste[NDR :Goût ou étalage de la douleur; complaisance à la douleur]

    par Julie Couronne

    Il faut se garder de confondre l’esprit de sacrifice fasciste, qui considère le sacrifice comme un moyen, et l’appétence doloriste chrétienne, qui en fait une finalité. On peut efficacement servir une cause en se sacrifiant, mais ce n’est pas parce que l’on se sacrifie qu’on la sert nécessairement.

    S’il peut arriver au fasciste de servir une cause perdue, et de se laisser tuer pour elle de façon apparemment inutile, en vérité il le fait pour assurer l’immortalité à une Idée, un But, supérieurs. Le chrétien en revanche, lorsqu’il fait le sacrifice de sa vie, n’y consent que par égoïsme, car par là il n’a que l’intention de se rapprocher de son dieu par l’affliction. La valeur intrinsèque d’une doctrine devant être jugée en soi, en faisant abstraction des plans pratique et historique, il peut survenir qu’une idéologie discutable au niveau théorique fonctionne de manière satisfaisante: ainsi du christianisme qui, dès lors qu’il fut prêché par des évêques, et soutenus par des monarques, germaniques, celtes et aryo-romains, devint ce catholicisme glorieux et combattant qui fit la grandeur de l’Occident; le contraire est aussi vrai, témoin le fascisme nassérien qui, en dépit de la présence en ses institutions de nombreux ex-dignitaires ϟϟ convertis à l’islam, ne sut vaincre Israël pour cause de piètre matériau racial de base. Ces deux exemples prouvent qu’autant que la doctrine compte la qualité des hommes qui la concrétisent, et que d’un peuple métissé rien de grand ne peut sortir.

    la suite après

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  2. suite...

    Le chrétien, donc, recherchera souvent la souffrance plutôt que l’efficacité, avec des dérives paroxystiques tel ces sectateurs qui, tout au long de l’histoire du christianisme, voyaient dans les maladies dont ils étaient affligés un signe d’élection divine. Les plaies notamment prenaient une connotation christique en étant associés aux stigmates de Jésus sur la croix. Transposé sociologiquement, ce phénomène de la stigmatisation entendait faire du malade l’image et le signe du Christ souffrant participant à la condition de l’humanité blessée dans sa chair ou son esprit afin de pouvoir triompher de ses maux. Cette mentalité s’est adaptée à notre époque en remplaçant le malade par le marginal, l’exclus – donc dans beaucoup de cas l’immigré. Dans l’optique chrétienne, les souffrances endurées par ces êtres déracinés les rendent plus dignes de compassion que les Européens de souche. Affichée et lue comme marque d’élection divine, la stigmatisation de l’immigré rend celui-ci admirable: l’exclu devient l’élu.

    Cette mentalité se retrouve hélas, quoique d’une autre manière, dans le camp opposé. Nombre d’organisations "nationalistes" ou "patriotiques", disposant de structures éprouvées et de militants vigoureux et résolus, s’éparpillent depuis des décennies en vaines manifestations dont le seul résultat est l’arrestation de leurs dirigeants. Cela dure depuis trop longtemps pour qu’il s’agisse d’un hasard, ou des conjonctures malheureuses. Il y a là une volonté inconsciente, de la part desdits dirigeants, d’endosser le rôle de martyr, qui est à l’opposé de celui, guerrier et chevaleresque, donc fasciste, de kamikaze¹. Au final ces modernes Tartarins ne peuvent afficher comme résultat de leur "action" qu’une ribambelle de condamnations, tels de vulgaires délinquants peu doués ou malchanceux – sans compter les multiples procès en cours pour lesquels ils demandent de l’argent.


    Le récent suicide de Dominique Venner est, tout pareillement, d’inspiration chrétienne, même si son auteur de réclamait du paganisme, car il a été inutile et n’a entraîné que la risée du camp adverse (encore, heureusement, n’a t-il pas fait d’émules). Un véritable païen aurait adopté l’esprit kamikaze¹, c’est-à-dire que pour protester contre l’islamisation, il aurait ceint sa taille d’explosifs et serait allé se faire sauter dans une mosquée. Voila un sacrifice qui aurait été utile, productif et dont il aurait pu être souhaitable qu’il soit suivi par certaines personnes. Le sacrifice ne comporte aucune valeur ontologique. De même que le concept de liberté, il ne prend de réelle signification qu’en fonction du but qui le sous-tend, et n’acquiert d’efficacité que lorsqu’il s’inscrit dans un projet articulé; sinon, il n’est qu’orgueil et vanité, voire perversion masochiste.

    ¹ http://www.welt.de/kultur/history/ar...n-opferte.html

    http://www.lonesentry.com/articles/kamikaze/"

    Il ne s'agit pas ici de glorifier ni Facisme, ni Nazisme,mais d'y voir une certaine façon de vivre plus décente que celle que nous vivons quotidiennement.

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  3. je ne disais rien d'autre sur "Calembredaines" . Quand on commence ce type d'action il faut avoir la volonté d'aller au bout et en tirer les conséquences , sinon mieux vaut se consacrer à une autre activité comme écrire des blogs :-D

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