A qui donc en effet ?
PARIS (NOVOpress) — Les crises violentes, les attentats terroristes les plus graves, fragilisent les opinions publiques et offrent une fenêtre d’opportunité à des lobbies influents ou à des minorités agissantes pour faire avancer leurs intérêts. Les musulmans les plus radicaux et les plus politisés veulent tirer profit du drame norvégien pour attenter à la liberté d’expression des adversaires de l’expansion de l’islam en Europe. Ibrahim Kalin, l’un des conseillers séniors du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, exige dans un commentaire paru il y a quelques jours dans le journal panarabiste Asharq Al-Awsat la criminalisation de l’« islamophobie » au titre de crime contre l’humanité. Kalin émet une violente critique vis-à-vis des chefs de gouvernement européens, qui selon lui n’ont rien fait jusqu’ici pour faire cesser la critique de l’islam.(...) La suite sur NovopressIl est clair que ce qu'il faudrait c'est une politique d'Etat de rejet de l'islam tout simplement parce que l'islam n'est pas compatible avec le mode de vie et de pensée de l'Occident. Demandons donc à Erdogan ce qu'il à fait des Chrétiens de son pays, combien il y reste d'églises, quelles sont les vexations et les agressions auxquelles sont soumis les Chrétiens qui persistent à demeurer en Turquie ?
Après il pourra parler du sort soi disant fait aux musulmans ailleurs.
De mémoire d'homme on n'a jamais vu une invasion à la fois démographique et religieuse, culturelle, psychologique traitée avec tant de complaisance par les envahis.
Tôt ou tard on en viendra à des réactions extrêmes de type guerres de l'ex-Yougoslavie et personne ne peut vouloir cela pour son pays.
Le seul moyen de l'éviter c'est de sévèrement contrôler l'immigration et de promouvoir des lois qui bornent clairement les intrusions de la religion dans l'espace public et en particulier de la religion musulmane puisque c'est elle qui présente actuellement le plus grand risque pour le stabilité de la société.
Lorsque le système démocratique français s'est senti menacé, à tort ou à raison, par le religion catholique au tournant des XIX ème-XXème siècles, il n'a pas pris de gants pour brider ce qu'il considérait comme une menace pour sa stabilité.
Alors aujourd'hui de la part de ceux qui se présentent comme les héritiers de ces laïcs militants, pourquoi tant de frilosité ?
Mais tout cela ne serait que feu de paille si l'Occident ne contrôle pas sa natalité, parce qu'avec des portes ouvertes et une natalité autochtone en déshérence il n'y a pas d'espoir à avoir et les musulmans n'ont même pas besoin d'une marionnette comme Erdogan.
Il est quand même extraordinaire qu'une société qui s'est dotée des moyens de plonger au cœur de la matière, qui regarde au fond de l'univers, qui explore les grands fonds marins, qui décortique le fonctionnement de l'âme humaine, ne soit pas capable de réagir devant une religion qui reste fondamentalement une religion de bédouins, encombrée d'interdits et de faux-semblants et dont le mot d'ordre reste quand même la punition sur terre de l'Infidèle pour la plus grande gloire de son dieu.
Je ne suis pas d'accord avec vous sur ces sujets.
RépondreSupprimerLe dieu du système est l'argent, le matérialisme.
Voilà pourquoi les médias critiquent les religions : les Catholiques réduits à des curés pédophiles et les Musulmans à des bédouins explosifs.
Quand on comprend un peu comment fonctionne les médias, cela semble pourtant évident, non ?
Amicalement.
Les Bédouins explosifs, c'est une réalité, mais je pense qu'ils ne sont qu'un outil aux mains de puissances plus occultes qui croient les manipuler pour déstabiliser les nations occidentales qui restent le principal obstacle à un système mondialiste.
RépondreSupprimerCe que je pressens, c'est que cet outil pourrait bien prendre son autonomie et poursuivre son propre dessein . Dans les deux cas il y a volonté d'étendre son hégémonie de manière universelle, mais l'oumma recherchée par les uns n'est pas la gouvernance mondiale de l'hyper-classe.