Le premier août, j'écrivais sous l'empire du bon sens qui semble tant faire défaut à nos dirigeants :
... j'imagine que tous ceux qui ont investi dans les fonds américains vont chercher à récupérer au moins une partie de leur mise, ce qui ne va pas se faire sans dommage. Le pire est devant nous.On dirait bien que nous y sommes .
Oui, le pire est devant nous... Et ce n'est que le début d'un cataclysme "programmé" qui frappera tout le monde sans exception (mais à des degrés différents bien sûr). Quand on pense que des solutions de bon sens existent, on en a d'autant plus la rage !
RépondreSupprimeroui, j'ai lu ici ou là que cette crise n'était en fait qu'une manœuvre pour transférer les charges sur le citoyen (au sens large) et les profits sur les (très) grandes entreprises.
RépondreSupprimerJe veux bien le croire même si je n'ai pas les moyens techniques de le vérifier.
Ce qui est fascinant, c'est qu'on s'approche de plus en plus des modèles de sociétés comme celles décrites dans certains romans d'anticipation du courant cyberpunk ou dystopique.
Je crois que la solution c'est de ne plus donner tant d'importance à l'argent. On savait le faire très bien dans les campagnes, jusqu'à il y a peu.
RépondreSupprimeroui naturellement, mais essayez de vivre en ville sans salaire ou sans revenu ...
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